L’histoire de nos employés, pour mieux recruter et fidéliser
Il était une fois… des employés qui auraient pu devenir nos meilleurs ambassadeurs. Mais voilà, on a préféré les garder à l’ombre du numérique. Pas de profil LinkedIn (ou si peu) et un contrôle serré des médias sociaux. Par crainte qu’ils nous fassent perdre « notre » temps ou notre réputation ou qu’ils soient trop exposés à la concurrence (et si on nous « volait » nos meilleures ressources?). Pourtant, tendre le micro ou le clavier à nos employés fait partie des stratégies qui « tatouent » le sentiment d’appartenance et facilitent le recrutement.
Raconter l’humain dans notre organisation
Pour attirer (et retenir!) ceux avec qui le « fit » culturel est bon, présentons les employés qui ressemblent à ceux qu’on veut embaucher. On ne cherche pas des clones, mais des gens aux talents et aux profils variés qui partagent les valeurs de notre marque employeur. On donne ainsi un message clair du genre de candidats que l’on recherche. Ceux qui n’adhèrent pas à nos valeurs s’évitent des déceptions et allègent notre processus de recrutement. Différentes avenues pour utiliser les témoignages et portraits d’employé comme un levier :
Recrutement
D’abord, les fameux témoignages d’employés. Malheureusement, ils sont souvent similaires d’un site carrières à l’autre, du type « j’ai pu mettre mes talents à profit et relever des défis » et autres variantes interchangeables. Comme a déjà dit Yvon Deschamps dans un monologue : « on veut pas le savoir, on veut le voir! » C’est là où le storytelling est un outil précieux : illustrons notre culture par des histoires qui témoignent de ses valeurs en action. Innovation et esprit d’équipe figurent au mur de notre hall d’entrée? Laissons Léa et Samuel nous parler concrètement d’un récent projet qui a mis ces valeurs en vedette. Une histoire dans laquelle on peut se projeter et saisir le contexte organisationnel. Et s’y identifier. Ou pas. Avez-vous du temps à perdre avec une personne qui finira par démissionner ou amènera peu de valeur ajoutée? C’est bien ce que je pensais.