L'Entreprise Tribu du mois: Dunton Rainville
Dunton Rainville embrasse plus large que la carte de la séduction
On était pas mal contents d’entendre Jean-Jacques Rainville, associé principal de Dunton Rainville, parler abondamment de l’importance de communiquer sa culture lors de l’activité Secrets de gagnants à la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud. L’activité accueillait également Gilbert Guérin de Héroux-Devtek dont nous parlerons sûrement… une prochaine fois!
Cette activité « faisait du pouce » sur les résultats du rapport Consulte/Action de la CCIRS sur la main-d’oeuvre. Les constats: les entreprises ne sont pas prêtes à y faire face. Elles savent qu’il faut être attrayant pour faciliter l’embauche et la rétention de la main-d’œuvre de qualité, mais elles sont démunies quant aux moyens pour y arriver. Le premier pas? Un p’tit coup de fil à Concerta 😉
À la question de l’animateur sur la nécessité de jouer la carte de la séduction pour se montrer attrayant aux yeux d’éventuels candidats, Jean-Jacques Rainville a rappelé que l’image externe de la firme doit correspondre à une réalité interne. Autrement, dit-il, « c’est de la fausse représentation ». Selon lui, la majorité des bureaux d’avocats baignent soit dans une culture « d’héritiers » soit dans une culture entrepreneuriale, comme c’est le cas pour ce cabinet de 200 employés.
Monsieur Rainville a aussi calmé le jeu sur cette fameuse Génération Y qui cause bien des maux de tête à plusieurs employeurs : « C’est une évolution à laquelle on doit s’adapter et, pour cela, on doit connaître leurs attentes. La gestion cool, ça va au-delà de la table de billard! Ce n’est pas par le salaire qu’on s’assure de leur engagement. Il faut d’abord vérifier l’adéquation culturelle. Et cela implique de communiquer les valeurs de l’entreprise et d’entretenir cette culture organisationnelle. » Si vous désirez creuser le filon de la génération Y, cap sur le site de mon ami Stéphane Simard.
Chez Dunton Rainville, on a d’ailleurs fait un sondage pour mesurer l’engagement des gens et on s’affaire à mettre en place des mesures pour s’améliorer continuellement. Monsieur Rainville a aussi souligné l’implication de la firme dans la prévention du décrochage scolaire. Voilà l’occasion de parler d’une autre de mes amies, Sonia Lombart, qui a fondé Déclic il y a belle lurette. Si vous désirez en savoir plus sur leurs programmes et vous impliquer, c’est ici.