Sixpro relève tous les Défis 5/30 du monde!

 dans Blogue, Entreprise Tribu: histoires

« Mes employés étaient surpris de voir qu’un “ti-père de 57 ans” était capable de suivre quand on jouait nos matchs de hockey ! » raconte avec fierté Richard Bourbeau, président de Sixpro, sous-traitant en revêtements de surfaces sur pièces métalliques. À son arrivée à la tête de l’entreprise, Sixpro a pris un virage santé. Pas étonnant : quatre ou cinq fois par semaine, ce diplômé en éducation physique fait du sport : il pratique le golf, quand ce n’est pas le tennis, le hockey ou le jogging, et fait de l’entraînement physique.

Richard Bourbeau est ce qu’on appelle un « leader de culture » : ses valeurs imprègnent toute l’entreprise. Et un patron sportif, ça fait bouger son monde ! Une vingtaine d’activités sont offertes aux 200 employés : concours « Viens t’amuser dehors », Olympiade Sixpro, lancement  d’un club de marche, entente avec une coop santé, sans compter la vaccination sur place, la distribution de fruits et la conférence d’une diététiste lors du Mois de la nutrition – ce mois-ci.

En plus du programme santé, on souligne les années de service, avec les Antique Cooper, Silver et Gold) et chaque matin, Karine Piette, l’adjointe du directeur des ressources humaines Denis Valois, part en mission.

Elle fait sa tournée de l’usine de Notre-Dame-du-Bon-Conseil pour « mettre du pep, détecter les problèmes et recueillir les bonnes idées ». Chaque semaine, celui dont l’idée séduit davantage obtient le titre de l’employé « Coup de cœur »… et un chandail blanc avec un cœur, qu’il ou elle enfile pour la photo officielle qui paraîtra dans le journal interne, tout sourire à côté de son superviseur.

Karine Piette fait aussi une tournée de l’usine à l’anniversaire des employés, et les huit directeurs se déplacent à tour de rôle pour leur souhaiter bonne fête. « Si on oublie, on se le fait dire ! » disent en chœur Denis Valois et le président, Richard Bourbeau.

De petits gestes qui demandent de l’engagement… et un souci pour le bien-être de ses employés, affirme ce dernier : « Pas besoin de dépenser des fortunes pour leur montrer qu’ils comptent pour nous. Moi, je m’entends bien avec tout le monde. Si on est trop grand pour les petites tâches, on est trop petit pour les grandes. »

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