Sur une note triste, le départ du Père Lindsay
J’ai eu cette grande chance de côtoyer le Père Lindsay il y a déjà belle lurette alors que je rédigeais L’Arpège, le bulletin de la Fondation Père Lindsay pour le camp musical de Lanaudière. En hommage à ce grand homme qui a fait des merveilles pour la musique, je reproduis ici quelques témoignages :
Pour Raymonde Benjamin et son fils Alex, le Père Lindsay, c’est plus que la musique : « C’est une sagesse. J’ai rencontré là (au camp musical) des gens qui sont restés des amis. »
Pour Isabelle Houle, le Père Lindsay est un modèle de positivisme, qui se s’énerve devant rien. Elle salue son extraordinaire charisme : « On faisait même des concours d’imitation du Père Lindsay « , racontait-elle dans L’Arpège, mars 2007. Elle poursuit : « Après 29 ans, j’ai encore les larmes aux yeux lors de la chorale de clôture du camp. Les gens à qui je raconte cela me disent « Ne sois pas gênée, nous aussi. »
Aujourd’hui, Père Lindsay, c’est nous qui avons les larmes aux yeux… Adieu et merci !
Pour faire un don à la Fondation.
À lire, le blogue de Pierre Cayouette , dans L’Actualité.